Etre interne, c'est donc l'opportunité :

-> D'approfondir ses connaissances et sa pratique dans la discipline de son choix sans être plongé immédiatement dans l'exercice libéral.
-> De prendre en charge des patients pour la totalité de leur traitement avec une grande autonomie, tout en continuant à bénéfi cier de l'encadrement du corps enseignant.
-> De préparer en parallèle des certifi cats de maîtrise ou masters, en sachant que l'internat donne une équivalence pour l'obtention du troisième certificat de maîtrise.
-> De préparer des communications à des journées scientifi ques avec sa propre iconographie et la bibliographie attenante.
-> D'acquérir des compétences cliniques reconnues. Quatre voies s'ouvrent après l'internat :
-> Une carrière Hospitalo-Universitaire : à la fi n de leur cursus, les internes peuvent concourir pour un poste d'assistant hospitalo-universitaire.
-> Une carrière hospitalière en devenant Praticien Hospitalier non CHU au sein des Services d'Odontologie. Dans la majorité des cas, ces Services collaborent avec une Faculté et accueillent des étudiants de T1 ou des internes, (cas du CHU de Dijon pour la Faculté de Lyon).
-> La spécialité en Orthodontie (CECSMO).
-> Une orientation vers l'exercice libéral. Dans tous les cas, l'interne devra également soutenir sa thèse de Docteur d'Etat en Chirurgie Dentaire. Actuellement un grand nombre d'anciens internes, qu'ils soient anciens assistants ou non, se dirigent soit :
 -> Vers un exercice hospitalier à temps plein
-> Plus généralement vers un exercice hospitalier à temps partiel dans les services d'Odontologie non CHU.
-> La moitié d'entre-eux est aujourd'hui MCU-PH dans leur Faculté d'accueil ou d'origine.
-> Quelques-uns se dirigent vers l'exercice libéral.